Dr Nastasa Chirurgie Esthetique

Hôpital Émile Muller - 20, Avenue du Dr René Laennec

Chirurgie de la silhouette

Chirurgie de la silhouette - ABDOMINOPLASTIE

La plastie abdominale, aussi appelée abdominoplastie, est une opération de chirurgie de la silhouette du ventre (paroi abdominale). Le but est de retendre la peau et d’atténuer les défauts de types vergetures, relâchement cutané, perte de tonicité des muscles abdominaux, cicatrices…

La lipoaspiration abdominale est indiquée quand le seul problème est un excès graisseux abdominal, mais lorsque la correction est importante, il faut recourir à une plastie abdominale,

Lorsqu’il existe une surcharge pondérale, celle-ci devra être corrigée au mieux avant le geste chirurgical (notion de contrat de poids). Les conditions de l’intervention en seront meilleures aussi bien en ce qui concerne la sécurité que la qualité des résultats.

Le plus souvent, le chirurgien retire un large fuseau de peau, situé entre l’ombilic et le pubis selon un dessin adapté aux lésions. La peau saine, située au-dessus de l’ombilic est ensuite redrapée vers le bas, de manière à reconstituer une paroi abdominale avec une peau de bonne qualité. L’ombilic est conservé et replacé en position normale, grâce à une incision faite dans la peau abaissée.

Au besoin, la graisse en excès peut être retirée par lipoaspiration et les muscles distendus sont remis en tension.

La taille de la cicatrice varie selon l’ampleur de l’intervention : elle est généralement située au au bord supérieur des poils pubiens et remonte plus ou moins loin dans les plis de l’aine. Sa longueur est en grande partie prévisible avant l’intervention et le (la) patient(e) devra en être très clairement prévenu(e) car cette rançon cicatricielle reste un des inconvénients principaux qu’il faudra assumer.

En fin d’intervention, un pansement modelant est confectionné, associé à la mise en place d’une gaine de contention.

La plastie abdominale nécessite une anesthésie générale ou une rachianesthésie, et la durée d’hospitalisation varie de 1 à 5 jours. L’arrêt du tabac est vivement recommandé, au moins un mois avant l’intervention puis jusqu’à cicatrisation (en général 2 mois après l’intervention).

Le résultat ne peut être jugé qu’à partir d’un an après l’intervention. Il convient en effet d’avoir la patience d’attendre la délai nécessaire à l’atténuation de la cicatrice et de réaliser pendant cette période une bonne surveillance au rythme d’une consultation tous les 3 mois pendant 1 an.

Au-delà de l’amélioration esthétique qui est souvent appréciable parfois même spectaculaire en terme de silhouette, la plastie abdominale apporte en règle générale au patient (patiente) une amélioration très nette en terme de confort,

De plus, cette amélioration fonctionnelle et le mieux être psychologique obtenus aident le patient (patiente) dans l’ajustement de leur équilibre pondéral.

La chirurgie plastique et esthétique de la paroi abdominale a fait des progrès déterminants qui permettent aujourd’hui de proposer une technique et une stratégie thérapeutique adaptées et de résoudre ainsi, soit par une simple lipoaspiration, soit par une mini-plastie abdominale (plastie abdominale localisée), soit par une intervention plus importante (plastie abdominale étendue), les principaux problèmes esthétiques posés par l’abdomen.
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Chirurgie de la silhouette - BODYLIFT

Le bodylift est une intervention destinée à retendre la peau du tiers moyen du corps. A l’avant (abdomen) les peau en excès est descendue. A l’arrière du corps (fesses) et sur les côtés (cuisses externes), la peau est remontée. On aboutit ainsi à une cicatrice au niveau de la ceinture. On appelle aussi cette opération : lipectomie circulaire.

L’objectif est d’enlever la peau en excès, Lorsqu’il y a aussi des excès de graisse, ceux-ci sont enlevés en même temps avec une diminution spectaculaire du volume global du corps.

Le bodylift agit donc efficacement : 
* en avant, sur le ventre, le pubis et le haut des cuisses 
* en arrière, sur les fesses 
* latéralement, sur les hanches et la culotte de cheval

Cette opération s’applique à de nombreux cas dans lesquels il y a de l’excès de peau avec par ordre de fréquence :

en premier lieu : les suites de pertes de poids importantes, par régime, anneau gastrique (gastroplastie) sleeve gastrectomie ou by-pass ;

l’obésité du bas du corps, dite gynoïde, qui résiste aux régimes ;

l’obésité généralisée, dans ce cas le bodylift peut aussi être considéré comme une chirurgie de réduction de la masse graisseuse. Ce sont des patient(e)s qui ont tout essayé sur le plan du régime et qui ne veulent pas subir les contraintes gênantes d’une chirurgie de l’estomac ou de l’intestin ;

l’âge et l’altération de l’élasticité cutanée post-ménopausique : de la même manière que l’on pratique des liftings du visage on peut pratiquer des liftings du corps ;

les suites de liposuccion qui peut laisser un excès cutané si celle-ci a été pratiqué sous une peau à faible capacité élastique ;

la chute congénitale des fesses et des cuisses, c’est à dire sans cause réelle et dès la puberté la personne à le peau molle et les fesses tombantes, L’abdomen peut être parfait mais dans ce cas on ne pratique que la partie postérieure de l’intervention.

La cicatrice qui est assez longue est la seule marque résiduelle de l’opération. Elle doit être expliquée en détail notamment sa forme et surtout sa future position qui peut varier en fonction du désir de la patiente pour s’adapter à son type de vêtement préféré. Actuellement, le choix se porte le plus souvent sur une position basse permettant le port de pantalons taille basse. Mais on peut parfaitement choisir une position haute pour s’adapter aux maillots de bains échancrés style « brésilien ». La largeur de la cicatrice finale est variable, de « fine » à « un peu distendue » (aléas de la cicatrisation ».

Une partie du résultat est visible immédiatement car la remise en tension de la peau est toujours spectaculaire. A partir de 3 semaines, les œdèmes commencent à partir, et le résultat est encore plus impressionnant. En ce qui concerne la cicatrice, il faut savoir que si elle s’estompe bien en général avec le temps, elle ne saurait disparaître complètement. A cet égard, il ne faut pas oublier que si c’est le chirurgien qui réalise les sutures, la cicatrice, elle, elle le fait du (de la) patient(e).

Le bodylift nécessite une anesthésie générale, et la durée d’hospitalisation varie de 4 à 6 jours. L’arrêt du tabac est vivement recommandé, au moins un mois avant et 2 mois après l’intervention.

Au-delà de l’amélioration esthétique qui est souvent appréciable, le bodylift apporte en règle générale une amélioration très nette en ce qui concerne le confort. De plus, cette amélioration fonctionnelle et le mieux être psychologique aident la patiente ou le patient dans l’ajustement de leur équilibre pondéral.
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Chirurgie de la silhouette - LIFTING DES CUISSES

La peau de l’intérieur des cuisses est fine et ses fibres élastiques fragiles. Elle est donc rapidement dégradée par le vieillissement naturel ou par les variations pondérales. Cette dégradation est souvent mal vécue et la demande de réparation est donc forte. Au problème de l’excès de peau s’associe souvent le problème d’un excès de graisse localisé à ce niveau. L’augmentation de son volume peut devenir gênant à la marche à cause du frottement.

Lorsqu’il existe un relâchement de la peau au niveau de la face interne des cuisses, une lipoaspiration isolée ne peut suffire et seule une remise en tension de cette peau est susceptible de corriger ce défaut : c’est le lifting crural ou cruroplastie ou lifting de la face interne de la cuisse.

L’intervention a alors pour but de réduire l’infiltration graisseuse par une lipoaspiration, mais aussi de supprimer l’excédent cutané et de suspendre solidement la peau restante afin de la retendre efficacement.

De l’examen de la peau découle 3 types d’opération :

Technique horizontale pure : On l’utilise lorsque l’excès en longueur est prédominant. Il se traite en tirant la peau vers le haut « comme on remonte un pantalon ». La cicatrice part du pli de l’aine. Elle se prolonge ensuite dans le sillon entre le périnée et le haut de la face interne de la cuisse, et se poursuit en arrière jusqu’au pli fessier où elle se termine. Dans cette technique, la traction est verticale. Pour éviter que la cicatrice ne redescende, le chirurgien doit fixer de la peau en profondeur au ligament situé en haut de la face interne de la cuisse.

Technique verticale pure : L’excès en largeur est prédominant et se traite « comme on rétrécit un pantalon ». La cicatrice verticale est située le long de l’intérieur de la cuisse. Elle est plus ou moins longue (et donc plus ou moins visible) suivant l’importance de l’excès de peau. Elle peut donc être limitée au tiers supérieur de la cuisse et dans ce cas là elle très discrète. Lorsque l’excès est important, comme après une perte de poids massive par exemple, elle peut descendre jusqu’au genou. Il n’y a pas besoin de fixation de la peau au ligament car la traction est horizontale.

Technique mixte : les deux techniques sont souvent associées lorsqu’il y a présence des deux excès de peau. On obtient ainsi une cicatrice en L inversée ou en T.

En fin d’intervention, on réalise un pansement à l’aide de bandes élastiques collantes ou bien on met en place un panty de liposuccion.
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Chirurgie de la silhouette - LIFTING DES BRAS

La peau de la face interne des bras, très fine, est fortement «sollicitée» par les mouvements et en cas de variations de poids importantes ou répétitives. Ceci explique que, associée ou non à une hypertrophie graisseuse, un affaissement cutané est fréquemment observé dans cette région.

Lorsqu’il existe un relâchement de la peau à ce niveau, une lipoaspiration isolée ne peut suffire, et seule une remise en tension de cette peau excédentaire est susceptible de corriger le défaut : c’est le lifting brachial ou brachioplastie ou lifting de la face interne de bras.

L’intervention consiste, quand l’infiltration adipeuse est excédentaire à la corriger par une lipoaspiration et l’excès de peau est ensuite enlevée, laissant une cicatrice dont l’emplacement et la longueur dépendent de l’importance de la distension cutanée et du type d’intervention choisie.

L’incision peut être :

* longitudinale, le long de la face interne du bras

Une lipoaspiration première est effectuée chaque fois qu’il existe une infiltration graisseuse de la région.La peau en excès est ensuite retirée à la demande à partir d’une incision longitudinale le long de la face interne du bras.

* horizontale dans l’aisselle

À partir d’une incision unique, horizontale, cachée dans un des plis de l’aisselle et après qu’une lipoaspiration première ait été réalisée si nécessaire, on retire la peau en excès de la partie supérieure de la face interne du bras. La suture dans le creux de l’aisselle permet de redraper et de retendre la peau résiduelle vers le haut et dans la région axillaire.

* Technique mixte ou technique combinée

C’est une synthèse des deux méthodes précédentes dont elle réalise un compromis tant qu’en ce qui concerne les avantages que les inconvénients notamment pour la rançon cicatricielle. Cette technique associe une incision horizontale dans le creux de l’aisselle et une cicatrice verticale courte de moins de 10 cm à la face interne du bras.

Dans tous les cas, en fin d’intervention, on réalise un pansement à l’aide de bandes élastiques collantes ou bien on met en place une brassière compressive.
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Chirurgie de la silhouette - LIPOSUCCION OU LIPOASPIRATION

La lipoaspiration permet de supprimer radicalement et définitivement les surcharges de graisse localisées par de petites incisions de 3 ou 4 millimètres, discrètes et le plus souvent cachées dans un pli naturel.

La quantité de graisse extraite devra être adaptée à la qualité de la peau sus jacente qui constitue l’un des facteurs déterminant pour la qualité du résultat. Il y aura autant d’incisions que de site à aspirer.

La lipoaspiration peut s’appliquer à un grand nombre de région du corps : « la culotte de cheval », les hanches, l’abdomen, les cuisses, les genoux, les mollets, les chevilles, les bras, le dos et le double menton.

En fin d’intervention, un panty compressif est mis en place, visant à limiter l’œdème postopératoire.

C’est seulement au bout de 3 semaines, et après la résorption de l’œdème, que le résultat commencera à apparaître. La peau mettra environ 3 à 6 mois pour se rétracter complètement sur les nouveaux galbes et se réadapter à la nouvelle silhouette.
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